On compte seulement trois autistes chez les Amish, pourquoi si peu ?
Il y a trois autistes chez les Amish, là où on en s’attendrait à en trouver environ 200 ! Cette statistique pour le moins troublante a une explication. Probablement, ne la connaissez-vous pas et pour cause. L’inavouable raison du peu de cas d’autisme chez les Amish ne relève pas d’un facteur chance, vous vous en doutez. Mais alors qu’est ce qui fait que les membres de cette communauté ne développent pas, ou si peu, l’autisme ? Un syndrome qui par ailleurs, concerne plus d’une naissance sur 100 de nos jours !
Pourquoi la communauté Amish semble préservée de l’autisme ?
N’allez surtout pas dire que les vaccins ne fonctionnent pas, ou peu, ou qu’ils sont un facteur déclenchant de l’autisme, au risque de vous attirer les foudres de l’establishment médical…
Le lien entre vaccins et autisme a beau avoir été mis à jour, le seul fait d’en parler vous fait basculer dans le camp des anti-vaccins, complotistes et autres qualifications peu flatteuses. J’en ai moi-même fais les frais, mais peu m’importe.
Même si certains vaccins remplissent parfois leur rôle, cela vaut-il la peine de courir le risque qu’ils font prendre pour la santé ? Car certaines statistiques sont, pour le moins, inquiétantes. Par exemple, les enfants qui reçoivent des vaccins contenant du mercure sont 27 fois plus susceptibles que les autres, de développer l’autisme. C’est une récente étude basée sur les propres données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) qui l’affirme !
Aux USA, les pédiatres n’ont pas le droit de remettre en cause la vaccination, ni même de soulever des questions susceptibles de créer un débat. Ils ne peuvent déroger aux obligations légales ordonnées par la CDC. L’AMA (American Medical Association) veille au grain et n’hésite pas à discréditer les médecins récalcitrants. Certains ont été rayés de l’ordre des médecins et ne peuvent donc plus exercer. Voici la question qui devrait être posée, celle qui fâche :
les nouveaux cas d’autisme déclarés diminueraient-ils soudainement, si le mercure n’entrait plus dans la composition des vaccins, y compris le vaccin contre la grippe ?
Pour bien comprendre, sachez qu’aucun enfant ne naît avec un syndrome autistique. Les premiers symptômes apparaissent durant la petite enfance ou l’enfance. Ils sont provoqués par une surcharge de neurotoxines consommées, injectées ou ingérées à partir d’un ou plusieurs facteurs environnementaux. Dans les faits : l’augmentation des troubles du spectre autistique au cours des deux dernières décennies aux États-Unis, coïncide directement avec l’augmentation du calendrier vaccinal imposé par les CDC, en quantité et en fréquence.
Pour savoir pourquoi l’autisme est presque inexistant dans la communauté Amish, il faut considérer que les Amish ont été « coupés » du progrès scientifique et médical depuis des siècles. Ainsi, ils ont été beaucoup moins exposés aux principaux facteurs déclencheurs de l’autisme, y compris aux vaccins controversés.
Si vous aviez un jour la possibilité de vous rendre en Pennsylvanie hollandaise, vous auriez très peu de chance de rencontrer un enfant Amish autiste. Rapporté aux statistiques globales de la population américaine, il devrait pourtant y avoir environ 200 personnes autistes dans la communauté Amish. Mais à ce jour, elles sont trois… L’une d’elle est issue d’une adoption, originaire de Chine. Parmi ces trois malades, un autre a été vacciné et a développé l’autisme peu de temps après.
Ces statistiques à prendre en considération
L’autisme touche plus de 20 millions de personnes dans le monde. Les sujets masculins sont quatre à cinq fois plus nombreux que les filles. Aux États-Unis, un enfant sur 68 développe un trouble du spectre de l’autisme (TSA), soit une augmentation de 30% par rapport à l’année 2012… à peine cinq ans auparavant !
Vous vous demandez comment on en est-on arrivé là ? Les enfants aux États-Unis reçoivent 50 inoculations avant l’âge de sept ans, dont beaucoup sont des combinaisons contenant de multiples souches de maladie. La majorité de ces injections contient également du mercure, du formaldéhyde (oui, le liquide avec lequel on embaume les morts), du glutamate monosodique et de l’aluminium, pour ne nommer que quelques-uns des neurotoxiques présents.
Les vaccins contre la grippe sont ceux contenant le plus de mercure. Ils en contiennent jusqu’à 25 000 fois la dose maximale autorisée par l’EPA dans l’eau potable, ou les poissons consommables. Vous l’ignoriez ? C’est bien normal, ce genre d’information n’est pas donnée au grand public et pour cause : le mercure est le deuxième élément le plus toxique connu pour l’être humain !
De par leurs croyances religieuses, les Amish refusent la vaccination
Heureusement pour les Amish, ils font aussi le choix de ne pas recevoir trois des vaccins parmi les plus controversés aujourd’hui sur le marché :
- celui de l’hépatite B
- le VPH (papillomavirus humain)
- et bien sûr le ROR (rougeole, oreillons, rubéole)
De l’aveu même des CDC, ces trois vaccins ont un lien indiscutable dans l’apparition des troubles du spectre autistique. Ce trois « suspects » représentent malheureusement la plus grande campagne de vaccinations jamais entreprise dans l’histoire. En contradiction avec les allégations des CDC, la version multi-doses du vaccin contre l’hépatite B contient encore du thimérosal (voir fiche Wiki).
Le système nerveux central immature et le foie des nouveaux-nés Amish sont épargnés par cette toxine volatile, grâce aux croyances religieuses de leurs parents.
Dans les faits, les enfants Amish de développent pratiquement aucun trouble de l’apprentissage. La communauté Amish est également épargnée par d’autres maladies pourtant très présentes aux États-Unis comme les cancers, les maladies cardiaques et le diabète. Au-delà du refus de la vaccination, d’autres situations pourraient l’expliquer :
- les Amish ne mangent pas de produits OGM
- ils ne consomment pas de produits pharmaceutiques chimiques
Il est probable qu’aucun organisme réglementaire géré par le gouvernement ne réalisera d’étude comparative dans ce sens, mais la réalité parle d’elle-même. La santé des Amish est largement meilleur que celle des autres communautés présentes sur le sol américain.
Pourtant, la CDC refuse toujours de réglementer l’industrie des vaccins. Elle favorise ainsi l’utilisation des produits chimiques toxiques, des métaux lourds, des substances cancérogènes et des conservateurs mortels comme le mercure.
Il est indispensable de réfléchir à un style de vie plus naturel et de reconsidérer notre rapport à la médecine de nos jours, si nous ne voulons pas être obligé de subir toute une cargaison permanente et invalidante « d’effets secondaires ». L’enjeu est de parvenir à préserver notre immunité face aux grandes maladies de ce siècle.
Source naturalnews.com en anglais
Cet article traite de la situation des États-unis certes, mais la situation des pays occidentaux, notamment en Europe, n’est guerre très différente. Pour le moins, cela doit vous donner matière à réfléchir. Maintenant, si certains attendent que les organismes officiels de l’État confirment ces suspicions… libre à eux. Ils peuvent tout aussi bien croire au Père Noël, l’effet sera le même.
On ne peux oublier cependant les précédents scandales sanitaires incroyables en leur temps, mais finalement bien réels, comme celui du sang contaminé, l’amiante, le Mediator…
Et d’ajouter pour terminer cet article, à qui voudra bien l’entendre : je ne remets pas en cause la vaccination, je remets en cause la présence de mercure (essentiellement, mais pas que) dans les vaccins !
Les experts nous mentent, les gouvernements sont complices, les gens meurent de cette situation. N’attendez pas d’être malade pour réagir et partagez cette info capitale avec vos amis pour leur permettre de se préserver :
Très troublant en effet !
C’est une étude bidon sans aucune valeur scientifique et pourtant je ne suis pas favorable aux vaccins
« On ne connaît pas la vérité autour des vaccins, que des mensonges et de la propagande, partout. La seule vérité est de faire un choix et d’être en paix avec ce choix. Une fois qu’il est fait, il faut le garder pour soi et ses enfants pour ne pas s’exposer à la critique acerbe de ceux qui pourraient nous traiter d’irresponsables. Suis-je pour, suis contre, vous ne le saurez pas, ce n’est pas votre affaire. »
C’est un point très complet et qui recoupe d’autres informations. ..
Petite question qui me turlupine…
y a t’il des statistiques sur les problèmes oculaires chez les Amish ? Myopie, Astigmatisme… etc…
Cordialement
Bonjour,
Je trouve l’article très intéressant. Je me suis toujours posée la question de savoir, parmi les cas d’autisme, combien sont vaccinés (avec quels vaccins, les dates d’injection, la date d’observation d’un comportement « anormale » de la personne…) ou non ?
Je ne suis pas certaine qu’une telle étude aie été entreprise.
Le choix est de plus en plus restreint aujourd’hui concernant la vaccination des enfants. Il y a une forte pression sociale.
Merci et bonne continuation.
Merci Géraldine. Les études sérieuses, significatives et indépendantes sont rares.
Une infirmière ayant un magasin naturel rencontre des parents qui ont des enfants qui à 18 mois ont des agissements tout à fait normaux et après le vaccin de rappels, voit du jour au lendemain un changement majeur, quelles preuves voulez-vous de plus? Et Guylaine Lanctôt avec son livre la Mafia Médicale qui a été radié de l’ordre des médecins. Après nos gouvernements se plaignent des coûts pour la santé…MErci d’en parler encore
Il se trouve que je connais un enfant qui n’a pas pas été vacciné, élevé au bio, sans lait de vache et toute la panoplie, qui est autiste. Aussi il faudra chercher d’autres piste.
je trouve l’article très intéressante ,la comparaison sur le mode de vie de la société Amish versus notre mode de vie n’est pas complet. Il fait mention du point de vue médicale seulement. Il ne parle pas des habitude de vie de parents ou des futur parents comme: leurs consommation de drogue récréatives, ( pot, extasie, cocaïne etc)de cigarettes, de consommation d’alcool, de fast food, etc. Il me semble que cela serait important de rentrée ces données dans l’équation.
bonjour,
il serait intéressant d’avoir en face des ces études, le nombre d’enfants morts / handicapés à cause de ces maladies pour lesquelles ils n’ont pas été vaccinés…
parceque même si on ne compte que 3 autistes chez les amish, contre 200 attendus, mais qu’on a 500 morts contre 0 attendus liés aux maladies non vaccinées, le bilan n’est quand même pas terrible…
quel est le taux de mortalité infantile chez les amish ?
De quelle maladie mortelle parlez vous (Amish ou autre ) ? La rougeole, la diphtérie, la tuberculose… la grippe peut être ? Parce qu’au cas où vous ne l’auriez remarqué on ne meurt plus de ces maladies depuis que les conditions d’hygiène ont progressé dans les pays occidentaux sauf exception des personnes à l’immunité déficiente.
Comme dans tout domaine il vaut mieux essayer d’avoir une approche curieuse et pragmatique en écoutant les différents points de vue (qui ne manquent pas pour les vaccins) de la part des pro et antis et se renseigner sur les conflits d’intérêt de certains spécialistes.
Oui mais je prends les paris que le taux de mortalité infantile chez les Amish est bas voire très bas 😉 , car avec leurs bonnes habitudes alimentaires (voir dans l’article) , la santé de l’intestin chez eux est forcément au top ( par rapport au reste de la population qui en très grande majorité ne suit pas ces règles saines) , or c’est l’INTESTIN qui , physiologiquement ( car ne parlons même pas de l’incidence du calme intérieur et de l’absence de peur sur un organisme !) qui permet au système immunitaire d’opérer h24 … Les études sur cet organe primordial ne font que s’accumuler , pour la joie des médecins holistiques qui eux , premièrement ne nuisent pas (!), et deuxièmement aident les patients à permettre à leur organisme d’être en équilibre et dans l’efficacité de son fonctionnement originel .
Pour les cas d enfants non vaccinés, nourris au bio etc… et pourtant autistes, il faut voir si la mère porte des amalgames dentaires ou a eu un traitement médical pendant la grossesse. Il y a toujours un élément déclencheur.