Je me rappels de ce temps où je rêvais d’une vie meilleure. J’idéalisais chaque aspect de mon existence, en doux rêveur que je suis. Je déconstruisais rêve après rêve chacun des points négatifs qui composaient mon quotidien avec des « ha…si seulement » en tête. Depuis j’ai réalisé ces rêves, l’un après l’autre, jour après jour. Oui, j’ai osé rêver ma vie, j’ai osé quitter ce qui me détruisait à petit feu, si bien qu’aujourd’hui : je vis un conte de fée…
J’ai osé rêver ma vie et depuis je vis dans un conte de fée
Tout a changé. Suffisait-il seulement d’oser ? Oui, c’est à peine un peu plus compliqué que cela. Même si, je ne crois pas que ce que je vis aujourd’hui, pouvait être réalisé avant. Je vais tenter de vous expliquer, le plus simplement du monde, pourquoi et comment tout ceci est arrivé. Si je le fais, c’est avec l’espoir de transmettre à chacun l’envie de se réaliser pleinement. Je le fais car je suis persuadé que ce bonheur ressenti ne m’est pas réservé. Je ne suis pas fondamentalement différent des autres. J’aspire simplement à une vie simple, qui corresponde à mes attentes et non plus à ce que l’on attend de moi.
Je ne vais pas entrer dans les détails, mais vous donner les grandes lignes de ma démarche. Pour en savoir plus, avoir plus de précision, il vous suffira de revenir sur ce blog où j’aborderais différents aspects de cette nouvelle vie dans les semaines à venir.
Ma vie d’avant
En y repensant, je me dis que c’est fou comme j’ai pu vivre en étant conditionné. Dans ma vie d’avant, je me suis attaché à répondre à tous ces « impératifs » auxquels je croyais fermement. J’ai obtenu des diplômes, j’ai suivi des formations. Comme beaucoup, j’ai travaillé et j’ai consommé. J’ai même acheté une maison et j’y ai élevé mon enfant.
Je ne peux pas dire que j’ai vécu un enfer, mais j’étais à mile lieux d’y trouver mon bonheur. Quels choix ai-je fait véritablement ? Je n’ai pas fait ce choix de contribuer à polluer toujours plus notre planète. Je me souviens étant petit avoir eu cette réflexion concernant les voitures :
Mais si on continue comme ça un jour on ne pourra plus respirer, pourquoi personne ne fait rien contre ça, pourquoi tout le monde s’en fout ?
Cette question, comme bien d’autres, m’a hanté l’esprit durant des années. Cette question, comme bien d’autres, est restée sans réponse durant des années. Pourtant, j’ai passé mon permis de conduire à 18 ans. J’ai acheté ma première voiture, puis une deuxième, etc. J’ai moi aussi contribué à polluer, sachant pourtant que ce modèle de société était complètement irresponsable.
Quel paradoxe : j’y suis allé contre ma conscience, mais volontairement… j’y ai même couru. J’ai rangé mes questions au placard pour faire comme tout le monde. Alors j’ai travaillé, gagné ma vie, consommé et pollué. J’ai acheté un tas d’objets plus inutiles les uns que les autres, tous polluant plus ou moins directement cette planète que j’ai vue décrépir d’année en année.
Ce n’est pas ce que je veux. Mais c’est pourtant ce que je fais. Avouez que dit comme ça, ça parait fou… Nous sommes conditionnés à vivre la vie que l’on nous dicte, pas celle que chacun souhaite au plus profond de lui.
C’est un fait. Je ne suis pas différent de la majorité d’entre vous. Personne, en son âme et conscience, ne fait ce choix d’une vie désastreuse pour l’environnement. Personne ne souhaite léguer à ses enfants un monde détérioré, abîmé, pollué… c’est pourtant ce que la grande majorité des gens font.
J’ai donc décidé de changer de vie
Ce choix est plus simple à faire qu’il n’y parait. Auparavant, je me disais qu’il fallait une sacrée dose de courage pour changer le cours de sa vie. C’est du pipeau, maintenant que c’est fait, je me rends compte qu’il n’y a rien de difficile.
J’ai pris sur moi d’accepter de « quitter mon confort de vie » comme on dit. Là aussi, c’est du pipeau. Ce qui est bien plus vrai et présent à mon esprit, c’est que je vis selon mes aspirations et c’est bien ça qui compte le plus. C’est grandiose d’être en phase avec ses aspirations profondes… ça, on ne m’en avait pas parlé! Ce confort de vie d’avant, n’est rien à coté du bonheur d’être soi. Là encore, le conditionnement nous induit en erreur, en nous promettant le bonheur d’être un consommateur, mais ça ne marcha pas.
Ma vie aujourd’hui
J’ai quitté le monde salarié. Ça fait deux ans maintenant, mais j’ai encore du mal à mettre des mots sur ce que je ressens. Plus d’horaire : je me lève à la lumière du jour, me couche quand je suis fatigué. Je « travaille », si on peut appeler cela ainsi, quand je le veux, où je le veux. En fait, je n’ai jamais véritablement l’impression de travailler, tellement ce que je fais me plait. Il n’y a plus de frontière entre ma vie professionnelle et ma vie privée. Je ne ressens plus ce besoin de me reposer, ou de partir en vacances.
Aujourd’hui je me sens entier. Je me sens humain. Je suis moi, non plus celui que l’on attend que je soi. Ce choix de vie est si profondément satisfaisant, que j’ai envie de dire que… je vis un conte de fée.
Je vous ai déjà présenté cet ouvrage, de C.C. Atman, une petite pépite, un déclencheur de bonheur ! Toutes les personnes que je connais s’y étant plongées, en sont ressortis transformées :
Croyez-moi, je n’ai aucune lessive à vous vendre. Le bonheur, votre bonheur est à portée de main. Il n’est ni loin, ni difficile à atteindre. Il suffit juste d’essayer pour se rendre compte à quel point l’on a pu passer à côté des choses vraies toutes ces années durant. Dites-le à vos amis: